La psychiatrie est l’un des pans de la médecine les plus présents dans notre quotidien. En effet, une étude démontre que 40% des français auraient au cours de l’année précédente souffert d’une maladie mentale. On peut donc affirmer qu’une majorité de la population française est concernée par la psychiatrie. Certaines études menées dans ce sens débattaient sur le cas des schizophrènes.
Schizophrénie : la thérapie cognitive
La schizophrénie est une maladie du type bipolaire. Comme il est précisé ici, il s’agit d’une maladie psychiatrique chronique. Elle peut sévèrement handicapée le malade entrainant sur ce dernier des troubles du langage et de la pensée, ainsi que des hallucinations. La schizophrénie cause également des troubles psychomoteurs, une forte démotivation et une dépersonnalisation du malade. 80% des souffrants de cette maladie n’auront probablement pas de travail. Selon des cabinets conseil spécialisés en sciences cognitives, le mal serait dû à des déficits neurocognitifs relatifs à des incapacités sociales. En effet, les malades sont confrontés à de nombreux troubles. Il s’agit entre autres de ceux de l’apprentissage, de la résolution de problèmes, de l’attention, des facultés sensorimotrices et même du langage. Le mal serait aussi dû à une importante psychose.
Solutions en médicament et en thérapie
La schizophrénie est principalement caractérisée par des dysfonctionnements cognitifs. On note à cet effet l’apparition des déficits au tout début de la psychose. Ils se stabilisent ensuite durant la manifestation de la maladie. En dépit de grands progrès réalisés dans le domaine ces déficits résistent aux traitements. Toutefois, de récentes études démontrent qu’il existe un moyen de soigner les déficiences cognitives. Les traitements seraient alors basés sur des neuroleptiques. Ces derniers offrent ainsi la possibilité de réduire de façon importante les symptômes de la maladie. Cependant, il est conseillé d’accompagner le malade sur le plan familiale et physiologique. Un grand soin doit être apporté à ce traitement au risque que le malade fasse une rechute.